"Ce n'est pas seulement la manière dont ils ont joué mais leur comportement et à quel point ils se sont montrés altruistes", raconte Coach K de ses 'papys' Durant et Anthony, déjà couronnées à Londres, et même à Pékin pour Melo. "Je suis fasciné pas ces gars." "Melo est le leader incontesté. C'est la voix de cette équipe", livre Paul George. "J'ai vu les deux côtés", témoigne Anthony. "J'ai vu la défaite (en 2004 à Athènes) et j'ai vu ce que cela faisait de remporter 3 médailles d'or. Je n'échangerai ça pour rien au monde."Kevin Durant lui, était autant dans la donation que dans la réception. Venu faire "sa thérapie" pour mettre de côté les tourments de sa signature aux Golden State Warriors, il a eu un peu de mal à prendre les choses en main avant de se libérer.
"Je n'étais pas moi-même", reconnait-il. "Le coach m'a fait m'asseoir et m'a diffusé quelques films de 2010 (le mondial en Turquie) et m'a dit 'je veux revoir ce gars à nouveau'."Une fois chauffée, la machine s'est mis sur mode carnage. Avec des flèches décochées à des distances parfois très flippantes. Maintenant le relais va se passer avec Gregg Popovich, Carmelo Anthony a fait ses adieux dans les larmes et le monde du basket observera avec attention le prochain choix de Kevin Durant pour sa carrière internationale.