« Je me suis ajusté. Je fais tout ce que je peux pour aider l’équipe lorsque je suis sur le terrain. Je suis un joueur d’équipe, tout ce qui compte c’est la victoire. Je fais des sacrifices pour le bien du groupe. C’est ce que nous faisons tous », assure Carlos Boozer au Chicago Tribune. « C’est un challenge mais la passion est toujours là. J’ai toujours envie de jouer dur. Mes statistiques ne sont plus les mêmes mais j’ai toujours la même envie de gagner. »Carlos Boozer n’est pas un mauvais joueur en soi mais son contrat ne reflète pas son niveau de jeu réel. Recruté pour épauler Derrick Rose à l’été 2010, il était l’option C ou D des Chicago Bulls, qui espéraient mettre la main sur Dwyane Wade, LeBron James ou Amar’e Stoudemire. La franchise a la possibilité d’amnistier le joueur dès cet été, ou de le transférer, en compagnie d’un tour de draft (les Bulls ont deux choix au premier tour, le leur et celui des Bobcats). Bref, ça sent la fin pour le « Booz »…
Carlos Boozer, la mise au placard
All-Star à Utah, Carlos Boozer est retombé dans l'anonymat. Ses statistiques chutent chaque saison depuis son arrivée aux Chicago Bulls, qu'il est susceptible de quitter cet été.
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