« J’étais le petit frère d’Errick. Personne ne connaissait vraiment mon nom.. En grandissant, je lui disais qu’il allait devenir le frère aîné de C.J », se rappelle-t-il. « Il rigolait et me disait « si je deviens le frère de C.J, c’est que j’aurai bien fait mon travail ». Il était ce genre de frère. Il a fait son travail en m’aidant à grandir de manière à avoir du succès. »
Par la suite, le plus jeune des deux a évidemment pris le dessus. C.J McCollum est souvent décrit dans les médias US comme le bon élève de la NBA, toujours le bon mot, très humble. Cela s’explique par sa formation.« C’était difficile de gérer à la fois les cours, la vie sociale et le basket. J’ai essayé de trouver une excuse et ça a été le journalisme car j’adore parler, écrire etc.. », raconte-t-il. « Je raconte toujours cette histoire car tu ne sais jamais quelle est ta voie. Il faut trouver ce que tu aimes. Au final, si tu aimes ce que tu fais, tu deviendras fort là-dedans. C’est pourquoi j’ai choisi le journalisme. »
Une voie que McCollum continue d’explorer. On a notamment pu le voir interviewer un certain Adam Silver récemment.