« Après avoir vu d’autres joueurs se faire critiquer parce qu’il demandait à quitter leur équipe, ces sources nous disent que Beal a l’impression qu’on trouve à redire parce qu’il choisit de rester à D.C., où il a commencé sa carrière NBA en 2012 », écrivent les deux journalistes de The Athletic. « Il a ressenti la même chose quand il a signé une extension en octobre 2019. »Pendant longtemps, les joueurs qui « trahissaient » (notion relative car les équipes ne se sont pas toujours bien comporté non plus ou ont parfois mal travaillé, rendant le départ légitime) leur franchise se faisaient dézinguer pour leur manque de fidélité. Faut dire que des carrières à la Kobe ou à la Dirk, ça a quand même méchamment de la gueule. Alors forcément, il a de quoi l’avoir mauvaise d’entendre qu’il n’est pas ambitieux alors qu’il veut juste enfin réussir avec sa team de cœur. Une attitude d’autant plus louable qu’on a bien vu que la situation sportive des Wizards lui pèse…
Bradley Beal was going through it on the bench. pic.twitter.com/OFLbkdbVMe
— Bleacher Report (@BleacherReport) January 27, 2021
Reste à savoir si Washington aura intérêt à continuer avec lui au risque de le perdre pour rien en 2022. Le record dont Bradley Beal se serait bien passéBradley Beal had 47 points in a 124-106 loss to the Pelicans. pic.twitter.com/EoA68CVybk
— SportsCenter (@SportsCenter) January 28, 2021