« Pour le moment, on ne va pas faire venir quelqu’un – nous n’allons pas nous précipiter », expliquait Ainge. « Nous aimons les gars que nous avons maintenant. Barbosa a seulement joué les derniers matches, et nous devons en voir plus de lui. S’il y a une autre blessure, alors nous pourrions avoir besoin de recruter quelqu’un. Je ne pense pas qu’il y ait un quelconque joueur que nous pourrions avoir qui soit meilleur que ce que nous avons maintenant. Nous ne ferons rien à moins que nous ayons une autre blessure. Je ne pense pas que nous ayons quelque chose à faire. Nous allons regarder toutes les possibilités comme nous le faisons toujours, mais rien de ce que nous pourrons faire n’aura un effet sur le hard cap. »Avec une masse salariale millions au-dessus du seuil de la luxury tax, le patron basket des Boston Celtics refuse d’envisager un trade ou des signatures autre que des contrats au minimum vétéran.
« Nous n’avons aucun trade sur le feu. Nous n’étions pas sur le point de trader Rondo. Mais je ne vais pas faire venir quelqu’un maintenant, qui va juste s’asseoir sur le banc. Nous pourrions signer un ou deux joueurs à des contrats minimums, mais c’est tout ce que nous pouvons faire. Nous devons voir si quelqu’un capable d’intégrer notre rotation devient disponible à travers un trade ou la free agency. Pour le moment, je veux donner aux gars que nous avons une chance de jouer. Après, on verra ce qui se passera dans les prochaines semaines. »Alors que beaucoup considéraient que le manque de mouvement des joueurs sur le terrain était souvent dû à la manière dont Rajon Rondo monopolisait la gonfle, Danny Ainge voit dans cette nouvelle situation une opportunité pour que les joueurs en fassent plus :
« Beaucoup de personnes ont quelque chose à dire sur la circulation de la balle dans cette équipe, mais je pense que ce qui est important, c’est le fait que les joueurs soient en mouvement. Parfois Rondo finissait par plus dribbler parce que ses équipiers ne bougeaient pas assez. Mais maintenant, nous allons avoir besoin que les joueurs en fassent plus dans le jeu. Nous avons besoin que nos arrières et que Paul (Pierce) jouent un cran au-dessus. Nous avons besoin qu’Avery (Bradley) joue un cran au-dessus. Nous avons simplement besoin que les arrières que nous avons jouent différemment. Nous avons besoin que chacun d’entre eux se partage les devoirs du meneur de jeu, et qu’ils le partagent avec Paul. On a déjà été efficace sans Rondo lors de courtes séquences. »