"Je pense que je devrais être sur le terrain, mais c'est son choix. Je joue, il coache. Il fait souvent ça depuis que je suis ici. Parfois nous gagnons, mais ce n'est pas le cas à chaque fois. C'est très frustrant, surtout quand je suis dans un bon jour. En tant que compétiteur, je veux aider l'équipe quand le match est serré. C'est dur d'être sur le banc à ce moment-là. La seule chose à faire est d'encourager les autres".
"Le coach est parfaitement au courant de ce que je pense. Tant que nous gagnons, ça va. Mais que ce soit clair, j'ai vraiment envie d'être sur le terrain dans le 4e quart-temps".Voilà des états d'âme qui n'aideront sans doute pas Carlos Boozer à convaincre ses dirigeants de ne pas l'amnistier en fin de saison...