Blake Griffin : "Je n'aime pas me voir à l'écran"

Blake Griffin a accordé une interview complètement décalée au magazine Rolling Stones. En voici les meilleurs extraits.

La popularité de Blake Griffin commence à dépasser le cadre du sport. Ses nombreux spots de publicité lui ont valu une popularité à l'échelle internationale et c'est tout naturellement que le magazine Rolling Stones a réalisé une interview décalée de la star des Clippers. En voici les meilleurs extraits.

Sur les joueurs poilus en NBA

"C'est toujours un peu crade quand vous devez défendre sur quelqu'un et que des poils dépassent de son maillot. L'un des gars les plus poilus avec ou contre qui j'ai joué, c'est clairement Chris Kaman. On plaisantait tout le temps là-dessus et au final, il assume très bien. Je crois qu'il a abandonné l'idée de se toiletter. Je défendais sur lui et j'étais son voisin dans le vestiaire. Parfois c'était dur de se concentrer, mais j'y arrivais".

Sur ses nombreux spots télévisés

"Quand je me vois à la télé, seul ou pas, j'essaye de changer de chaîne aussi vite que possible. Si je n'y arrive pas, j'essaye de les distraire. Les gens disent souvent que c'est dur de s'entendre parler sur un message vocal. C'est l'effet que ça me fait. Je n'aime pas me voir à l'écran".

Sur l'utilisation médicale de la marijuana en NBA

"Ce n'est pas quelque chose qui me concerne directement. Mais je sais qu'il y a beaucoup de joueurs qui utilisent un paquet d'anti-douleurs qui, à long terme, sont bien plus néfastes que le cannabis. Donc si on me demandait de voter, je dirais oui parce que c'est ce qui me semble le plus logique".

Sur la supposée baffe donnée à Justin Bieber dans un Starbucks

"Si je voyais vraiment Justin Bieber tourmenter un barman, c'est ce que je ferais en tant que citoyen. Ce serait aussi un moyen de m'excuser auprès des barmans pour ne jamais vraiment laisser de pourboire..."

Sur ses problèmes intestinaux durant les matches

"Je ne vais pas le cacher, il y a eu plusieurs matches où j'ai eu des gaz assez horribles. Contre les Knicks, lors de ma première saison, l'un de mes coéquipiers tirait un lancer franc et je n'ai pas pu me retenir. Un joueur des Knicks a couvert son nez en disant : "Mon Dieu, qu'est ce que c'est que ça ?". Et le mec à côté de moi a dit la même chose donc j'ai du prétendre que ce n'etait pas moi. J'ai fait ce que j'avais à faire". L'interview complète ici.

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