"Lorsque vous échouez dans votre ville natale, c'est aussi dur que ça en a l'air, et j'aime ma ville. J'aurais souhaité que nous ayons une équipe NBA ici, et ce n'est pas le cas à cause de moi."Une première saison à seulement 14 petits matches, derrière Bill Walton enchaîne avec deux années blanches, pour finir avec seulement 88 rencontres au compteur. Bill restera aux Clippers une année après la délocalisation à Los Angeles, avant de poser ses valises aux Boston Celtics et y décrocher un titre et une récompense de meilleur sixième homme.
"C'est mon plus gros échec en tant que professionnel dans ma vie. Je n'ai pas pu faire le travail dans ma ville. C'est une marque et un stigmate dans mon âme qui reste indélébile. Je ne pourrais jamais rectifier ça, et je devrais le supporter pour toujours."Sacrément marqué le Bill.
"Je ne dirais pas ça si je ne le pensais pas. J'ai été blessé littéralement tout le temps. Si j'avais pu jouer, nous aurions toujours une équipe NBA à San Diego."