"Pop m'a donné le job pour ce que je suis, pour mon cerveau, ma personnalité et ce que je suis capable d'apporter. C'est pour ça que je suis en poste, si je n'étais pas qualifiée, ça serait un véritable désastre. En plus, ça aurait pu blesser la condition féminine et l'avenir des femmes en NBA, donc je devais être la bonne personne. La dernière raison pour laquelle je voulais être embauchée, c'était mon genre", a expliqué Hammon pour USA Today.Et honnêtement, on ne voit pas Gregg Popovich intégrer une femme à son staff juste pour le buzz ou pour faire l'histoire. Si Becky Hammon a rejoint les San Antonio Spurs, c'est qu'elle méritait ce poste pour Popovich. Et voici la meilleure réponse à ses détracteurs : trois victoires pour une défaite et une qualification pour les quarts de finale de la compétition, il s'agit de ses résultats lors de cette Summer League.
Becky Hammon : « J’ai eu le job grâce à mes qualités »
Première femme à entraîner une équipe de Summer League avec les San Antonio Spurs, Becky Hammon assure avoir gagné sa place grâce à ses capacités.
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