"Je suis toujours en colère à ce sujet. Mais j'ai appris de cette expérience, je suis devenu plus humble et ça m'a rendu affamé. Je ne voulais pas être le #3 pick de la draft et sortir du banc. Pour cette raison, j'ai passé tout l'été suivant dans un gymnase à bosser. J'avais tellement à prouver. (...) Ce que je pourrais lui dire ? Des jours meilleurs vont arriver. Ses plus belles années sont devant lui", a confié Baron Davis à ESPN.Et si l'ancien joueur des Los Angeles Clippers comprend parfaitement la frustration de D'Angelo Russell, il lui conseille tout de même de rester patient et de travailler dur en attendant son heure.
"Je me souviens être un rookie sur le banc. Tu es tellement frustré car tu veux aider, tu veux trouver ton rythme. Dans le même temps, il est encore tôt dans la saison. Il doit encore trouver le moyen d'imposer sa personnalité dans le jeu."Même si D'Angelo Russell est effectivement encore un peu tendre, il est tout de même incroyable de voir la gestion de Byron Scott alors que son équipe doit préparer l'avenir. Avec Julius Randle et Jordan Clarkson, le meneur incarne le futur des Angelenos et il va devoir prendre son mal en patience avant de pouvoir endosser des responsabilités importantes.