"Lorsqu'il avait 5 ans, Michael Jordan a failli se couper l'orteil avec une hache. A l'époque, il avait besoin de travailler un peu son handle. Imaginez si c'état arrivé, Air Jordan n'aurait peut-être jamais décollé ! Qui voudrait acheter une chaussure avec un orteil manquant ? On ne l'aurait peut-être jamais vu changer de main en pleine ascension contre les Lakers, marquer 63 points au Garden, réussir le Flu Game, sortir The Shot trois fois contre Georgetown, Ehlo et Russell, battre Larry Bird au H.O.R.S.E ou encore rendre ce sport mondial avec la Dream Team. Michael Jordan, c'est pourtant davantage que ces moments. Davantage que le meilleur joueur des deux meilleurs équipes de l'histoire, la Dream Team et les Bulls de 96. Davantage qu'un logo ou qu'un meme sur Internet (le Crying Jordan, NDLR). Davantage qu'un homme de charité, un businessman et un acteur de la diversité. Il y a une raison pour laquelle on dit de quelqu'un qu'il est le Michael Jordan de son domaine. Le Michael Jordan de la neuro-chirurgie, le Michael Jordan des rabbins, etc... Il est la définition du fait que quelqu'un est si bon dans ce qu'il fait que tout le monde est obligé de le reconnaître".
On peut penser ce qu'on veut de son bilan politique, mais Barack Obama transpire la classe, notamment lorsqu'il parle de basket.
Le discours complet de Barack Obama
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