Boston réussit une saison convaincante. Elle aurait pu être encore plus belle si Avery Bradley avait été plus souvent présent. Après un début de saison de haut niveau, il a trainé une blessure qui l’a longtemps écarté des terrains (23 matchs manqués).
Revenu le 27 février dernier, l’arrière des Celtics a eu un bon début avant d’avoir à nouveau un peu de mal à revenir à son meilleur niveau. A partir du 23 mars, il a même eu 5 matchs très compliqués: 33% aux tirs dont un horrible 2/21 à 3pts.
Depuis, Bradley retrouve des vrais sensations. Le jeu des Celtics, très collectif avec une bonne circulation de balle, l’a aidé à se sentir mieux.
« Je pense qu’il a un meilleur rythme, explique Al Horford. Il est plus confiant quand il prend ses tirs. Je pense que parfois, quand vous êtes là puis absent, cela prend du temps d’être à nouveau prêt. »
L’apport de l’arrière est extrêmement précieux pour l’effectif de Boston. Il a un impact important des deux côtés du terrain. Le staff de Brad Stevens en a donc bien conscience.
« Il est une importante part dans nos chances d’avancer plus loin », concède le coach.
Le backcourt qu’il forme avec Isaiah Thomas sera l’une des clés dans le succès de Boston. Ils auront besoin de lui pour enfin passer un tour de Play-Off. Ce n’est toujours pas arrivé sous l’ère Stevens.