« Tout le tapage médiatique qu'il y a eu avec ce que son père a fait avec sa marque ont fait que les gens veulent sa peau », a expliqué le pivot de 33 ans dans un entretien accordé au Canberra Times.
« Les gens adorent ça ou bien ils détestent. Heureusement, cela reflète aussi qui est Lonzo. Et il est exactement le contraire de ce que je pensais. Il parle posément. Il a un bon sens de l'humour et il ne parle beaucoup. Personne n'a de problème avec lui. Le vrai visage des gens apparaît au fur et à mesure que la saison avance mais je pense qu'il n'est pas du tout comme on l'avait décrit. »
Conquérir le coeur d'un vieil ours comme Andrew Bogut est déjà une première victoire pour Lonzo Ball. Il lui reste désormais à justifier les attentes placées en lui par la prestigieuse franchise californienne. Un défi d'une toute autre envergure pour l'ancienne star d'UCLA, apparu à seulement deux reprises en présaison et dont le retour de blessure est attendu jeudi soir à l'occasion du premier match de saison régulière face aux Clippers.