« Il est le gars qu’il vous faut avec les jeunes », estime-t-il. « Si vous perdez, il reste positif et parle toujours du lendemain. Si vous gagnez, il va parler des choses que vous devez faire pour être sûr de continuer à s’améliorer. »
Son profil de vétéran prend donc tout son sens à Philadelphie. De son côté, Johnson semble ne pas se forcer à jouer les mentors. C’est dans sa nature, il a développé cette qualité lors de ses premières années à Detroit.« Je suis toujours vocal, je parle tout le temps, je tiens évidemment ça de Rasheed Wallace », explique-t-il. « Etant dans ma 13e année NBA, je pense que j’ai beaucoup à donner. Je vais vraiment montrer l’exemple sur le terrain et j’aurais beaucoup de choses à dire aux jeunes. »
Avec J.J Redick en plus, la construction de l’effectif des Sixers est très cohérente.