« Quand mon père est mort, mon frère a été celui qui m’a gardé à l’abri des problèmes. Mais malheureusement, c’est lui qui s’est retrouvé dans les soucis dont il essayait de me protéger. C’était mon ange-gardien, s’il avait une belle paire de chaussures, il me les donnait. Nous étions comme des meilleurs amis. »La mère d’Amar’e intervient également dans le documentaire et témoigne de la relation entre les deux frangins.
« Il ne le laissait pas aller dans la rue, prendre des drogues. Il ne laissait personne lui faire du mal. Il se serait battu pour lui. C’est très dur pour Amar’e de pleurer. »D’où la larme tatouée sur sa pommette.
« La raison pour laquelle j’ai cette larme tatouée, c’est parce que je pleurerai toujours de cet œil. »