"J'ai toujours cru qu'ils allaient reconstruire un stade. Même quand j'étais là, cette arène était vieille. Mais c'est dur pour moi d'imaginer qu'il n'y aura plus d'équipe dans cette ville...", a-t-il confié au Sacramento Bee.Rick Adelman pourrait donc avoir coaché, même sur un banc adverse, pour la dernière fois sur le parquet du Power Balance Pavilion lundi soir. Une enceinte où l'ancien joueur de 64 ans a fait des merveilles et toujours qualifié la franchise californienne pour les playoffs, comme en 2002 avec la légendaire et controversée série face aux Lakers. Qui ne se souvient pas des échanges savoureux entre les stars des deux franchises dans la presse et les fameuses cloches des fans de Sacto en réponses aux attaques de Phil Jackson sur Cow Town?
"Lorsque nous gagnions, cet endroit était incroyable. C'est vraiment triste que cela se finisse. C'est le seul sport qui intéresse la ville, les gens ont été tellement géniaux. Je ne peux imaginer que ce soit à cause du désintérêt des fans que la franchise déménage".Sans être fan des Kings, on ne peut qu'être nostalgique en se remémorant une ville où sont passés des joueurs de la trempe de Vlade Divac ou Chris Webber. Ou réaliste, lorsque l'on observe les performances récentes de la franchise qui croit toujours en un avenir radieux avec Tyreke Evans ou DeMarcus Cousins en guise d'étendards...